À 77 ans, Constantin menait une vie active. Il travaillait la terre, prenait soin de sa famille et appréciait son indépendance. Mais lorsque sa vue commença à se détériorer à cause d’un glaucome et que la douleur dans ses yeux devint insupportable, tout changea. Maux de tête, douleurs oculaires et vision trouble l’empêchaient de continuer à travailler. « Je ne pouvais plus cultiver mes terres. Ma famille a commencé à souffrir de ma condition », raconte-t-il.
Le diagnostic : glaucome
Constantin ne connaissait pas le glaucome, mais il remarquait que sa vision se dégradait progressivement. Sans traitement, cette maladie peut entraîner la cécité permanente. Ses enfants l’ont finalement conduit à la clinique ophtalmologique Saint-Raphaël, où le diagnostic a été confirmé. Pourtant, se rendre à l’hôpital n’était pas une évidence : « J’habite loin de la clinique et je n’avais pas les moyens financiers pour le voyage », explique-t-il.
Un espoir de guérison
Malgré ces difficultés, Constantin a décidé de suivre un traitement. Il a reçu des collyres pour réduire la pression intraoculaire et prévenir d’autres dommages. Rapidement, la douleur a disparu et sa vision s’est stabilisée. « Depuis le début du traitement, je n’ai plus de douleur. Les contrôles réguliers m’aident à préserver ma vue. »
L’impact sur sa vie
Grâce aux soins médicaux, Constantin a pu reprendre le cours de sa vie. « Mon plus grand espoir est de conserver ma vue et de profiter de ma retraite. » Il sait désormais à quel point les examens oculaires réguliers sont essentiels et souhaite sensibiliser sa communauté aux dangers du glaucome. « Beaucoup ignorent qu’ils en sont atteints jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Nous devons les informer et dépister la maladie à temps. »
Un appel à l’action
Le glaucome est une maladie oculaire silencieuse, mais une détection précoce peut éviter la cécité. Constantin a eu la chance d’être pris en charge à temps.
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